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dimanche 2 mars 2025

Nouveau Monde postmoderne 7

Big Pharma, Data et Daimon, 

la dérive du monde !



Avec la pandémie de la Covid et la pantalonnade des vaccins confinant sinon à la supercherie, du moins à l'esprit vénal à outrance maximisé, on ne saurait plus douter de l'empire grandissant sur les esprits et nos vies de Big Pharma. 

Ce terme désigne péjorativement l'industrie pharmaceutique dans son ensemble, même s'il pointe, plus précisément, les plus gros groupes, ceux notamment qui composent un lobby du médicament de plus en plus envahissant et pernicieux pour la santé même qu'il prétend servir. 

Ainsi en sommes-nous arrivés à ce que de plus en plus de voix justes, y compris parmi les médecins, dénoncent ce qui serait devenu un commerce juteux où c'est le médicament qui crée la maladie et non la supprime.    

Or, une telle emprise se trouve aggravée par le Léviathan de plus en plus monstrueux de ce qu'on appelle Big Data avec l'arme fatale désormais en sa possession de l'IA, l'intelligence artificielle.  

Au vrai, il n’est rien de nouveau sous le soleil des humains. Depuis la nuit des temps, il n’y a eu que des daimons, ces démons supposés ou réels qui maîtrisent leurs tristes réalités et à faire qu’elles ne changent pas, qu’il s’agisse des démons des mythes et des religieux ou les mammons des mercantiles. 

Même la supposée démocratie n’a été et n’est qu’une daimoncratie, le pouvoir de ces démons ; et cela est diffracté en tous domaines, y compris ceux supposés y résister grâce à leur vocation première d’agir à non pas formater les esprits, mais à les libérer de tout dogmatisme. 

C'est bien le cas de l’université - hélas! - devenue un lieu de formatage avant tout, rétrécissant encore plus les rares lieux de libre pensée où, au mieux, sont aussi de plus en plus réduits à se taire les rares esprits libres qui y resteraient. 

Cela contraint les plus radicaux des adeptes de la pensée libre, préservant leur éthique axiologique d’une pensée re-belle, à rompre même avec de lieux de fausse pensée n’ayant guère plus leurs lettres de noblesse. 

Ce que je fis, s'agissant tant de l’université (tant en Tunisie qu’en France) que de la diplomatie partout devenue au service des plus honteux dogmatismes. N’est-ce pas le cher prix à payer pour qui se veut encore plus que libre penseur : le déontologue d’une philosophie de vie aux impératifs catégoriques éthiques, une poléthique au sens étymologique du terme galvaudé de politique.  

Aujourd'hui que le doute n'est plus permis sur l'obsolescence tant juridique qu'éthique de l'épistémè de la Modernité, mais que la bascule vers un autre monde plus humain et solidaire tarde encore faute d'assez de justes osant contrer les hordes d'injustes, combien de temps le zéroïsme de sens de la Postmodernité sera à supporter avec, outre Big Pharma et Big Data, Big Daimon en maître d'un monde à la dérive ? 

Où sont donc les justes de voix et de voie, pour y mettre le holà et engager l'humanité vers la mondianié, ce monde d'humanité tant attendu