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jeudi 28 avril 2022

Infothique contre infotainment 1*

Mythe d’indépendance 
et
crédibilité perdue de Kapitalis
 
* Infotainment :  
Anglicisme entré en français pour l'infodivertissement, ou information-divertissement [contraction des mots “information” et entertainment, “divertissement”]
Infothique :  
Mon néologisme pour l’information éthique dans le sillage de la poltéhique, mon autre mot nouveau pour la politique éthique, avec ses vraies lettres de noblesse. 


L’incident, guère le premier, qui vient d’émailler ma relation avec M Ridha Kéfi, directeur de Kapitalis, est bien regrettable et participe de la crise morale que vivent nos élites, toutes tendances confondues, ce qui rejaillit forcément sur la situation épouvantable du pays et de son peuple qui se lasse d’attendre des responsables qui ne fassent que la preuve de leur irresponsabilité ; qui soient donc et d’abord éthiques. Vivement la poléthque !

Pour clore l’incident je reproduis d’abord l'essentiel de mes deux premiers commentaires sur ma page Faceook et j’y joins ce qui est de nature à les compléter.


1.
Le mythe d’indépendance de Kapitalis !

 

Le site cède aux pressions et arrête de publier la 4e partie du roman-feuilleton.

Malgré son engagement de publier, en partenariat, mon roman-feuilleton qui a dérangé certains milieux - notamment ceux qui s’en sont inspiré pour publier une série jugée par les spécialistes comme étant une supercherie - Kapitalis vient de céder à leurs pressions en décidant d’arrêter la publication de la quatrième et dernière partie.
Pour cela, le directeur a avancé de bien loufoques raisons.
Je reproduis, ci-après, le message du directeur de Kapitalis m’annonçant, peu après midi aujourd’hui, la décision de se plier aux pressions auxquelles il semble pourtant avoir résisté un certain temps.
Il est vrai que les intérêts financiers sont énormes.
Mais est-ce que la réputation professionnelle de Kapitalis en sort sauve ?
Hélas non et la prétendue indépendance du site que d'aucuns soupçonnaient déjà illusoire se confirme ainsi.
Dommage !
L’éthique n’en mourra pas, car les justes, même de plus en plus minoritaires, continueront à servir le vrai et l’honneur de la parole libre, jamais serve à quelque intérêt que ce soit, surtout pas mercantile.
 
Voici le message de ce jour de M. Ridha Kéfi, reçu à 12h35 :
 
CITATION :
 
Bonjour Si Othman,
On a publié 22 épisodes de votre roman que personne ne suit. Même quand nous oublions de publier un épisode, aucun lecteur ne le remarque ni n'attire notre attention.
Sincèrement, je ne vois plus personnellement d'intérêt à faire du remplissage en publiant des textes que personne ne lit. On n'a eu jusque-là que des critiques des gens qui ne voient pas d'intérêt à lire un livre qu'ils nous accusent de leur imposer (lisez les rares commentaires dans le forum).
Votre roman est en librairie. Ceux que cela intéresse peuvent l'acheter et le lire d'un seul trait.
Je vous souhaite une bonne soirée.
 
FIN DE CITATION


Et voici l'essentiel de ma réponse :
 

Merci pour votre message de cet après-midi m’annonçant votre volte-face surprenante qui, permettez-moi d'oser vous le dire, me semble vous être dictée par des considérations autres que celles que vous invoquez, allant même contre vos principes affichés.
Cela étant, et en toute sincérité, je me suis attendu à cette issue dès la première omission de publication.
Mais je ms suis dit que je pouvais me tromper, surtout après lecture de vous ce qui suit :
« comme on s'est engagé, on va continuer, mais sans grande conviction. »
D’autant plus que vous avez confirmé, par la suite sur le site et par deux fois, la poursuite de votre engagement.
Alors ce qui a amené cette variation de position n'est-ce pas ce que je dis à l’entame de cette réponse ?
En effet, je ne puis croire à la raison que vous invoquez : « critiques des gens qui ne voient pas d'intérêt à lire un livre qu'ils nous accusent de leur imposer (lisez les rares commentaires dans le forum) ».
Outre que cela confirme la source idéologique de ces critiques, je vous signale que l’argument ne tient pas la route, car est-ce imposer quoi que ce soit à qui que ce soit quand on publie ce qui suscite quand même quelques « like », même infimes ? Et ces lecteurs ne méritent-ils pas qu’on les respecte aussi ?
D’ailleurs, vous l’avez dit au début du ramadan en réponse à un commentaire, précisant qu’on n’est pas obligé de lire ce qu’on ne veut pas lire, le site le proposant à ceux qui le lisent et même l’apprécient !
Revenons aux commentaires. Vous l’aurez noté, ils émanent tous d’un pan précis de la société, idéologiquement orienté dis-je, sinon d’origine mercantile.
De plus, vous n’êtes pas sans savoir qu’on peut apprécier un produit sans en parler, surtout chez nous.
Enfin, et cela ne vous échappe pas non plus, la critique est facile, même quand ce qu’on critique est digne d’intérêt.
Ce que vous avez vous-même reconnu, au reste, disant ceci :
« Loin de moi l'idée de mettre en doute l'intérêt de votre livre. Il est intéressant et même passionnant. »


Vous êtes professionnel et en votre milieu, vous le savez bien, lorsqu’on se rend compte qu’une idée n’est pas bonne, on l’assume jusqu’au bout lorsqu’on s’y est engagé.
Surtout quand on a confirmé cet engagement par deux fois, la seconde sur le site même après la publication de plus de la moitié du roman.
Or, il reste juste la dernière partie et dix jours de publications de faits moins bien connus que vous ne le dites, car rapportés souvent de manière déformée.
Alors, pourquoi arrêter en fin de parcours ?
N’est-ce pas satisfaire des milieux intéressés à ne pas éventer une trame devant être traitée de manière orientée dans le cadre d'une supercherie ?
Car, contrairement à l’essentiel de ce qui a été déjà publié, le roman traite désormais de faits qui n’ont pas encore fait l’objet d’exploitation commerciale et cela peut ne pas convenir à certains intérêts.
D’autant plus, pour votre information, que le livre n’est plus en librairie depuis la sortie de la série qui s’en est inspirée.
J’espère sincèrement, sans y croire cependant, vous voir me détromper en revenant sur votre décision en fin de parcours d’une publication pour laquelle, par deux fois au moins, vous avez eu à prendre la bonne décision, conforme à vos valeurs et à votre déontologie.
Ce qui suppose que vous honoriez votre engagement pris de publier ce qui, en bon professionnel, ne pouvait vous échapper qu’il susciterait quelques problèmes.
Croyez que je veux rester confiant et continuer de croire à l’indépendance totale de Kapitalis.
Il n'est pas encore trop tard pour rectifier cette erreur et revenir à votre propre saine déontologie !


2.

La crédibilité perdue de Kapitalis

 
À la faveur du roman-feuilleton du ramadan, Kapitalis a administré la preuve n’être qu’un simulacre. En cédant aux pressions opposées à la libre pensée, en violant ses engagements fermes et en revenant sur sa propre parole, la preuve est faite que ce média n’est ni indépendant comme il le prétend ni même crédible quand il s’agit de ses intérêts mercantiles. Ce n’est donc rien d’autre qu’un simulacre. Rappelons que c’est  « une CHOSE qui a une réalité physique, mais non une dignité morale » (Saint Thomas d'Aquin, Somme Thologique, II ,q 94,art 2).
Après avoir prouvé hier que le site n’est point indépendant, nous démontrons aujourd’hui qu’il n’a plus de crédibilité.  

En effet, après sa défection du partenariat convenu longtemps avant ramadan, violant son engagement, répudiant sa parole et perdant du coup sa crédibilité de média au service de la parole de vérité, son directeur, M. Ridha Kéfi, a tenu à m’écrire ce matin pour apporter, dit-il, des éléments de réponse à ma réaction d’hier.

Les voici, et ils sont fallacieux comme le prouve ma mise au point exhaustive qui suit :   

 CITATION :

Ridha Kefi (Directeur Rédaction: www.kapitalis.com)
06:55 (il y a 1 heure)

Bonjour Si Farhat,

Nous avons nos règles et celles-ci sont claires: on publie ce qui intéresse les gens et on évite de lasser les lecteurs. Quel intérêt à continuer à publier un feuilleton que personne ne lit ? Et puis, il s'agit d'un livre paru en...  2015, et le sujet, comme il nous est apparu, n'intéresse plus grand monde, même pendant ramadan. Ce serait continuer à faire du remplissage pour plaire à l'auteur, le seul visiblement à attendre la publication du nouvel épisode du roman-feuilleton qu'il a lui-même écrit.

Je suis désolé, mais c'est la règle: ça n'intéresse et ça provoque même des railleries et des sarcasmes dans notre forum, la décision est donc prise : on arrête de publier des tonnes de textes, puisque les épisodes sont devenus trop longs (9 à 11 pages), ennuyeux et longs pour des internautes. Les lecteurs intéressés peuvent aller acheter le livre en librairie, d'autant qu'on lui a fait beaucoup de publicité dans Kapitalis pendant  24  jours. On s'attendait à des remerciements de votre part...

Bonne soirée.

FIN DE CITATION


Ma réponse titrée :
Conseil amical : écoutez votre inconscient, pas le principe fallacieux de réalité  

Bonjour Si Ridha,

Merci pour cette réponse que je n’attendais pas.
Écrite, semble-t-il hier, quoiqu’envoyée ce matin (comme manifestement votre précédent message faisant fi de votre propre engagement), elle ne semble pas avoir bénéficié de la sage parole des anciens en la revoyant avant de l’envoyer.
Cela vous aurait évité le rappel qui suit à la vérité que je croyais sincèrement être en partage entre nous. 

Pour coller au plus près à vos paroles, je les reproduirai suivis de mes commentaires dont vous savez maintenant qu’ils ne relèvent nullement d'une langue de bois dans laquelle vous semblez - hélas ! - verser.
Ce qui est une tare majeure des élites délitées du pays semble ainsi vous gagner.
Dommage !


Vous dites :
— « Nous avons nos règles et celles-ci sont claires: on publie ce qui intéresse les gens et on évite de lasser les lecteurs. »
Et je réponds :
—>  Sincèrement, je croyais que vos règles étaient la parole de vérité et l’engagement à la servir et la dire, même si cela déplaît. Honnêtement, j’ai essayé de le croire malgré déjà nombre de désillusions que vous ne sauriez ignorer puisque j’ai souvent, sinon longtemps, publié chez vous.

— « Quel intérêt à continuer à publier un feuilleton que personne ne lit ? »
—> Je ne peux croire à pareil désintérêt de votre part pour ceux qui vous lisent et apprécient même s’ils n’en parlent pas. Je suis aussi horrifié par votre ultime décision, violant votre propre engagement de continuer à publier le roman-feuilleton ainsi que vous vous y êtes engagé dès le début et trois fois par la suite, y compris sur le site. Pourtant, aucun épisode n’est passé sans au moins une poignée de « like » et cela a approché parfois la vingtaine ! Or, votre intérêt pour vos lecteurs est censé l'être pour tous, non pour ceux qui réagissent et dont la motivation n’a pu vous échapper. Pourtant, au début, vous avez bien répondu à certains de ces porte-parole de ce qui ressemblait à une vraie cabale. Par conséquent, tenir compte de ces voix et non des autres ne peut que s’assimiler à du mépris en presse vraiment libre et éthique !

— « Et puis, il s'agit d'un livre paru en...  2015, »
—> Oui, et il est épuisé. De plus, il a inspiré une série qui traite mal des mêmes événements, étant une supercherie historique et dont les promoteurs tiennent à ce que le terrain leur soit réservé pour en parler à leur guise. Cela, en professionnel que vous êtes, n'a pu vous échapper et vous y avez résisté un temps, avec gêne et hésitation apparemment, mais bien salutairement sur le plan de votre propre déontologie. Mais vous avez fini par céder aux pressions, ne serait-elle que celles des commentaires orientés, vous amenant au vrai forfait consistant surtout à renier votre propre parole. Quelle horreur!

— « et le sujet, comme il nous est apparu, n'intéresse plus grand monde, même pendant ramadan. »
—> Comment le combattant pour la vérité et les valeurs que je voyais encore en vous peut-il oser dire pareille monstruosité ? Vous savez bien que la vérité dérange et que la minorité agissante qui la combat use de tous les moyens pour qu’on ne la délivre pas ! Ne les combattez-vous pas dans le pays sur le plan politique ? De plus, quel mépris vous affichez pour ceux, même une minorité, qui vous lisaient sans se manifester par la parole, allant jusqu’à le manifester par le glyphe y consacré ? Quelle banqueroute des valeurs éthiques et de la déontologie de la presse, ce que je qualifie du néologisme « infothique », une information éthique. Or, je vous en croyais encore adepte et vous démontrez spectaculairement ne plus l’être. Vous avez certes vos raisons et il nous est arrivé d’en parler, mais elles n’ont rien à voir avec ce qui s’impose le plus aujourd’hui dans la presse se voulant responsable, et surtout chez nous : le courage de la parole de vérité ,même envers et contre tous !
   
— « Ce serait continuer à faire du remplissage pour plaire à l'auteur, le seul visiblement à attendre la publication du nouvel épisode du roman-feuilleton qu'il a lui-même écrit. »
—> Voilà l’exemple type de la logomachie dans laquelle vous semblez désormais verser et qui ne vous honore point. Il  ne s’agit que de raisons loufoques, car l’auteur n’a fait que vous proposer, longtemps avant ramadan, une publication dont vous connaissiez à l’avance les spécificités, notamment ce que vous invoquez pour justifier une décision injustifiable, ne serait que parce qu’elle viole votre propre engagement. Et cet engagement est non seulement du début, mais aussi et surtout renouvelé maintes fois et de différentes façons. Inutile de vous signaler que vous semblez reprendre des tournures de certains détracteurs du projet, ceux qui en font commerce aujourd’hui sans nulle honte, ajoutant à la confusion axiologique dont souffrent la société et ses élites. Et c’est probablement non seulement pour manque d’arguments, mais aussi en signe de complicité avec ces basses manœuvres contre la liberté de la presse et la parole libre. Vous ne faites donc que scier l’arbre de l’information crédible sur lequel repose la réputation désormais altérée de Kapitalis en tant que média libre et crédible.   

— « Je suis désolé, mais c'est la règle: ça n'intéresse et ça provoque même des railleries et des sarcasmes dans notre forum, »
—> Et voilà la confirmation, de votre propre main, de l’inanité de votre argumentaire. Ce qui désole, bien évidemment, c’est que cela vienne d’un supposé média militant pour la vérité laquelle est toujours combattue, dans les meilleurs cas, par la basse raillerie.

— « la décision est donc prise : on arrête de publier des tonnes de textes, puisque les épisodes sont devenus trop longs (9 à 11 pages), ennuyeux et longs pour des internautes. »
—> Pourquoi donc tant de mépris pour ceux qui ont aimé ? Et pourquoi ne pas l’avoir fait dès le début, défendant même le projet en réponse aux critiques qui n’ont pas tardé à fuser ? Surtout, vous saviez, dès le départ, que les textes allaient être longs et vous l'aviez accepté.

— « Les lecteurs intéressés peuvent aller acheter le livre en librairie, d'autant qu'on lui a fait beaucoup de publicité dans Kapitalis pendant  24  jours. »
—> Vous ne pouvez l’ignorer, vous l’ayant assez répété : le livre est épuisé et ses détracteurs font tout pour qu’il ne vienne pas concurrencer l’entreprise malfaisante qui s’en est inspirée, publiée bien après sa parution en 2015, mais en ne respectant ni son esprit ni la vérité historique, en faisant une supercherie. Cela, en bon professionnel, vous ne pouvez l’ignorer; c’est au reste, ce qui vous a probablement fait hésiter  jusqu’aux derniers jours du ramadan  


— « On s'attendait à des remerciements de votre part... »
—> Vous me connaissez, je cherche à être juste de voix et de voie, et je n’ai pas manqué d’éloges à votre égard quand c’était mérité, au service des valeurs et de la déontologie. Pour cela, j’ai publié sur Kapitalis et suis même revenu vers lui, mais point pour une illusoire publicité. Non, car je ne prête aucune attention à de telles vanités mesquines. Non,  ce n’était pas pour une autre raison que ma militance axiologique. Or, je ne saurais vous remercier que lorsque vous démontrez par l’acte être au service des valeurs que je pensais et espérais avoir en partage. Ce que j’ai fait quand vous m’avez fait part de votre précédente décision de continuer à publier le roman-feuilleton, juste quelques jours avant votre volte-face vous amenant à violenter votre propre conscience. Car je ne veux pas la croire assoupie, juste somnolente, à l’image de ce qui se passe en Tunisie. Comme le mal déteint !
En somme, et je vous l’avais déjà dit par le passé, lors d’un précédent différent parmi d'autres, c’est le patron qui s’est manifestement imposé au journaliste se voulant libre, et l’a amené à être, comme disait Nietzsche, "humain trop humain",  remplaçant la morale et son impératif catégorique par la "moraline", acceptant que les vraies valeurs soient écrasées par les intérêts du moment.

Et voici ma conclusion :
Malgré tout ce qui précède , je me refuserai toujours à croire à la prophétie dudit philosophe assurant déjà, en 1882, parlant de la médiocratie : « encore un siècle de journalisme , et tous les mots pueront ».
Ce qui inspire tous mes actes nullement influencés par les erreurs et les injustices de mon prochain, comme la vôtre aujourd’hui, après tant d’autres, croyant dur comme fer que le juste doit toujours donner l’exemple en termes de valeurs, particulièrement lorsqu’il prétend combattre pour elles. Et cela s’impose d’autant plus qu’on relève de temps de fausseté tous azimuts.
Et ce n’est surtout pas pour la raison donnée par le poète, ma gloire étant de servir des valeurs en péril et non de m’en prévaloir face aux périls !
Sachez donc que je ne cherchais, avec la proposition gratuite de mon roman, que faire oeuvre utile en démontrant qu’on a pu parler autrement de l’histoire de l’islam le livre n’étant plus disponible.
Aussi, ce qui me désole est de ne plus pouvoir refuser la vérité, à savoir que le média, que je voulais continuer à croire crédible et au service des valeurs éthiques, n’en use plus que comme un paravent pour continuer à profiter de cette réputation. Car, désormais, vous prouvez vous-même qu’elle est usurpée.
Avis aux justes encore au service de l’infothique, l’information éthique !

Tous mes vœux vous accompagnent si vous souhaitez vraiment servir ce pays avec une parole de vérité face au tsunami négationniste des valeurs !
Réveillez-vous donc et écoutez plutôt votre inconscient que les oiseaux de mauvais augure de votre forum faisant écho aux adeptes de la fausseté et de la triche. Il ne sera jamais trop tard pour cela.
Le futur et le salut éthiques du pays en dépendront, car nolens volens vous y jouez un rôle et avez à faire en sorte qu’il soit le moins injuste et le plus honnête possible.

Dit avec ma sincérité habituelle.  

Bonne réflexion !
Et en adepte de l’école de l’imaginaire et des acquis de Jung, voici mon ultime conseil d'ami : écoutez plutôt votre inconscient au lieu de vous aligner sur un principe de réalité fallacieux, par trop réducteur sinon caricatural de la réalité !

Dont acte

Fin de citation

3. 
Un comportement immoral


Dans sa réponse finale, le directeur de Kapitalis répond ce qui suit à mes arguments irréfutables attestant le mythe d’indépendance de Kapitalis et la perte de sa crédibilité :
CITATION ;  
Je n'ai pas le temps ni la patience de lire et encore moins de discuter d'interminables messages. Je ne suis pas fort en casuistique.
Je vous ai expliqué les raisons de ma décision et je n'ai de comptes à rendre qu'à mes lecteurs.
Merci pour votre compréhension.
FIN DE CITATION

Assurément, la casuistique sous la plume de M. Kéfi voulue être une argumentation spécieuse sur ses problèmes moraux, est bien plutôt la reconnaissance inavouée de son cas de conscience.
Il était inutile de lui répondre, suscitant une réponse évasive supplémentaire, et je me limite à rappeler ici par des citations et des précisions tangibles, à quel point ce cas de conscience est avéré pour M. Kfi tiraillé entre son devoir moral, sa parole de gentleman et ses intérêts matériels encourageant tractations et calculs.
Il sait que je ne lui en veut pas personnellement, car il est loin d’être le seul dans cette situation, et c’est bien en ami que je le tance, car il aurait pu être le dernier dans son difficile métier à faire de l’éthique son panache.
Dommage !
Sa plus grande erreur fut de se dédire après avoir assuré ce qui suit quelques jours auparavant :

 
« Mais comme on s'est engagé, on va continuer, mais sans grande conviction. »
   
D’autant plus que cet e-mail venait après deux confirmations coup dur coup sur son site.


Une autre erreur et non des moindres concrétisant son affirmation et raison majeure avancée de sa violation de sa parole faisant fi de son engagement est de ne tenir compte que de l’avis de ses lecteurs les seuls à qui il rendrait compte. Or, cela se doit d’être en conformité avec une conscience tranquille ; l’est-elle, M. Kéfi ?
Que répondriez-vous aux lecteurs ayant apprécié les épisodes tant décriés par certains dont vous n’ignoriez assurément pas leur inféodation directe ou indirecte à la supercherie historique ?
Et quelle contradiction avec ce que le Modérateur de Kapitalis répondait à certains des commentaires idéologiquement orientés ?
En voici des exemples avec le détail des « like » apposé par ces lecteurs que vous ignorez sur chaque épisode du roman-feuilleton de la première publication à la dernière sur Kapitalis. Les voici par ordre d’importance, en notant qu’il y en a eu au moins 5 chaque jour (en gras les jours où deux épisodes ont été publiés suite à de supposés oublis traduisant la réticence de l’inconscient de M. Kéfi à suivre son penchant de se dédire, auquel il a finalement cédé, violant une conscience ainsi chahutée :


17 « like » : Jour 10 (le 9/4)
15 « like » : Jour 12 (le 11/4)
14 « like » : Jour 4 (le  3/4)
13 « like » : Jour 3 (le 2/4)
11 « like » : Jour 15 (le 14/4)
10 « like » : Jour 1 (le 31/3) -  Jour 2 (le 1/4) - Jour 18 (le 16/4) -  Jour 27 et dernier jour de publication (le 23/4)
9 « like » : Jour 9 (le 9/4) - Jour 24 (le 21/4)
8 « like » : Jour 16 (le 14/4) -   Jour 26 (le 22/4)  
7 « like » : Jour 7 (le 6/4) - Jour 8 (le 7/4) - Jour 11 (le 10/4) -Jour 17 (le 15/4) - Jour 20 (le 18/4) - Jour 21 (le 19/4)
6 « like » : Jour 6 (le 5/6) - Jour 22 (le 21/4) - Jour 23 (le 21/4) -  Jour 25 (le 21/4)  
5 « like » : Jour 5 (le 4/4) - Jour 13 (le 12/4) - Jour 19 (le 17/4)


Par ailleurs, on note l’hésitation de M. Kéfi à continuer à publier le roman-feuilletons et qui est apparue avec les premiers oublis intervenus dès le 8 avril (Jour 9), la publication du jour ayant été mise en ligne le lendemain, puis de nouveau le 14 avril avec deux publications le lendemain (Jours 15 et 16) et enfin le 21 avril, publiant les épisodes des jours 24 et 25 le 21 avril.
Ainsi, par trois fois, M. Kéfi a hésité (ou était-ce un jeu ?) à renier son devoir moral avant de céder (ou sembler céder) aux pressions le 24 avril. Quelle risque (ou compensation) a emporté donc sa volte-face immorale ?
Peu importe, sinon que c’est par trop dommageable pour sa réputation propre et celle de son média qu'on espérait honorer la presse dans le pays, pratiquant ce que je nomme infothique, l'information éthique.  

Aussi, en clôturant cette péripétie qui éclaire bien certaines des causes de la situation tragique de notre pays, et qui est d’abord éthique, j’invite Kapitalis à se ressaisir pour stopper un dévoiement qui, s’il dure, ne saurait que lui être préjudiciable, eu égard à la violation de la justice immanente.  
Tous mes vœux accompagnent donc Si Ridha pour tenir compte des impératifs oubliés de sa conscience que je savais éveillée avant de le voir céder au mauvais esprit d'un temps de triche à tous va.  
Bonnes retrouvailles avec l'éthique, et si possible, la poléthique!